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5 octobre 2008 7 05 /10 /octobre /2008 15:00

      
      
     
      L’anglais toulousain ce n’est pas comme en français.

      Certes, on peut écrire Stonehenge… si on ne le dit pas,
      mais à la parole on n’entend pas la même chose, et de
      toute façon on n’a pas de cailloux.

      D’ailleurs, il y a des régions où on n’en a jamais rencontré,
      des cailloux.

      Ca prouve bien qu’ils ne supportent pas le voyage et
      qu’ils sont bien moins fous que leur nom peut le laisser
     
supposer.   

      Nous…

      Et puis je te le répète, l’anglais toulousain ce n’est pas
      comme en français.






 

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5 octobre 2008 7 05 /10 /octobre /2008 14:45

                      
                      
  
    - « Venu,

                d’ici,

                     et reparti. »

    - Ce n’est pas un peu « historique »… ? Comme si les armées romaines avaient existé sur ce monde !...

    - Et pourquoi pas ?

    Selon les théories actuelles, l’univers est courbe. Car il n’a du poil que d’un côté …

    Et pas n’importe quel poil, pas le poil lisse et domestiqué du soldat de métier, mais le poil darwinien, bien dans la lignée scientifique, qui a développé son pouce opposable et serre très fort tout ce qui passe à sa portée.

    Alors, à force…



 
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5 octobre 2008 7 05 /10 /octobre /2008 14:30


- Je te dis que j’ai vu un trou avec des pattes.

       - Mais ça n’existe pas un trou avec des pattes, et ne me dis pas que je n’ai pas eu le temps de le voir parce qu’il courait trop vite.

- Ben si, justement. Enfin, il ne courait pas si vite que ça, mais je pense qu’il aurait pu courir plus vite.

       - Ah oui ! Et à quoi tu as vu ça ?

- A son air, un peu pincé. On voyait bien qu’il restait sur sa réserve.

       - L’air du trou ! Tu ne confonds pas par hasard les pattes et les p…

- Ah non ! Le poil, je connais ! C’est ce qui nous fait tourner en rond dans la Courbure Eternelle.On apprend ça tout jeune, dès que le bourgeon durcit.

      - C’est bien, tu n’oublies pas que nous sommes au service de la science. Mais, quel rapport… ?

- …Et pourquoi ce monde n’aurait-il pas ce que nous avons toujours été incapables de mesurer… la rapidité du trou ?

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5 octobre 2008 7 05 /10 /octobre /2008 14:15

WOODINGUE
-
L’ABYSSE et le GALBE
  Livre fondateur du mouvement de l’Univers


…Extrait… 
Schéma de l’Univers avec application


  Courbe convexe avec poil intérieur
  Courbe convexe avec poil extérieur
 
Courbe concave avec poil intérieur
 
Courbe concave avec poil extérieur
                      
Le poil du dedans est plus fort que le poil du dehors


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5 août 2008 2 05 /08 /août /2008 14:00

WOODINGUE
-
L’ABYSSE et le GALBE
  Livre fondateur du mouvement de l’Univers

…Exégèse… 


Voici le résultat de l’observation scientifique de la dernière fois, observation qui avait été déjà confirmée avant :
                         
L’univers est courbe pas toujours dans le même sens. De nos   jours, nous savons que le poil à pouce opposable n’est pas seul en cause.


Pour l’instant deux hypothèses sont retenues :

-




-



Soit l’espace n’a le poil installé que d’un côté parce qu’il est trop fin (l’espace). D’où l’inégalité fondamentale des côtés, et la Courbure Eternelle aurait profité de cette injustice pour instaurer la Chute Obligatoire

Soit on aurait grimpé si haut que le côté le plus proche aurait grillé et d’où viendrait le nom de notre grand lieu de pèlerinage, Roustis-lès-Couilloux. 
 

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5 août 2008 2 05 /08 /août /2008 13:45


     « Chaque côté est-il
   semblable debout et / ou
   couché ?

   « Un côté est-il vraiment
   un côté ? Ne pourrait-il
   être une apparence vue
   de face ou de profil ?

   « Si l’espace est grand
   d’un côté, l’est-il tout
   autant de l’autre ? Et s’il
   est petit… ?
 

- Aucune de ces questions n’est soulevée dans «L’Abysse et le Galbe».


  
                   -  C’est parce que
                      c’est trop vieux
                      tout ça…

                      Dans les livres il
                      n’y a plus de
                      place.

   

    
     Y’a qu’à remettre l’hypercourbe à trous en marche et on n’aura plus à faire le tour à chaque fois dans ces pourris d’endroits pleins d’herbes.

      Moi, j’en ai ras les branches du fond.

     Et avoir une indigestion en se tordant la cheville, c’est la honte
du « cause à effet ». Plus personne va nous croire.

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5 août 2008 2 05 /08 /août /2008 13:30




- L’hypercourbe à trous, c’est une légende, ou bien une connaissance perdue.

              - Mais comment peut-on perdre un trou ?...

- Parce que ce n’est pas le trou qu’on a perdu, c’est le bord.

     Un bord, même de loin sur une courbe simple, c’est très méfiant.

     La ruse est de lui faire croire le contraire, qu’il n’est pas sur une hypercourbe mais sur une hypocourbe.

     Le problème est que dans l’état actuel de nos connaissances, l’hypocourbe, on ne sait pas si elle est plus droite ou si elle est plus molle ...


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5 août 2008 2 05 /08 /août /2008 13:15
WOODINGUE
-
L’ABYSSE et le GALBE
  Livre fondateur du mouvement de l’Univers

Extrait…
Anomalies de l’Univers avec application

 

Courbe libre                                       




Courbe à pli peu prononcé




 Courbe à pli prononcé




 Courbe à pli fini



La courbe est contre le pli



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5 août 2008 2 05 /08 /août /2008 13:00



L’Univers est sûrement plus grand que ça mais l’espace est très fin.

Ce qu’il nous faut découvrir, c’est s’il est encore plus fin dans les lointaines contrées moins courbées, pubescentes, où la Courbure Eternelle n’a pas la même autorité sur la Chute Obligatoire, où le duvet naissant n’est pas condamné dès le premier jour, avec son petit pouce happant peu mais ferme.

Voilà où est notre quête ! Là où la toison s’éveille…

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5 août 2008 2 05 /08 /août /2008 12:45
WOODINGUE
-
L’ABYSSE et le GALBE
  Livre fondateur du mouvement de l’Univers

Extrait…

        Le Chiffre, en son absolue certitude qu’il ne pouvait vivre seul, se fit tout d’abord remarquer.   

        Au début il comptait si peu qu’il avait beau sauter en agitant les bras, personne ne lui prêtait attention.   

        Plus tard il sauta si haut qu’on le perdit de vue. On dit même que certaines années il s’accrocha à des endroits qu’on n’a toujours pas découverts.   

        Puis apprenant qu’on pouvait sauter moins haut, il osa décrire des courbes qui naturellement attirèrent la Chute Obligatoire.   

        Le but était atteint.   

        Admettant que le Chiffre ne pouvait surveiller les deux côtés tout seul, la Courbure Eternelle lui accorda un acolyte.   

        Et ce n’était que le début.

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