L'association Les Amis de Michel Gourdon animera une conférence sur Michel Gourdon le samedi 25 mai à 14h au Palais de la Médiathèque de Puteaux dans le cadre du festival de BD.
Une guerre pour la tolérance et l’humanisme, de la part d’un libertaire chronique, fallait oser !
Une armée constituée de Lesbian, de Gay, de Bi et de Trans, financée par une flopée de célébrités, sous le commandement d’un général retraité (Geoff Tyler) décidée à renverser le dictateur d’un état africain.
Des personnages attachants et soignés.
Un thriller politique qui colle aux sujets d’actualité.
Toni Musulin est convoyeur de fonds depuis dix ans. Le 5 novembre 2009, à 10 heures du matin, il appuie doucement sur l’accélérateur de son fourgon blindé. À l’arrière de son véhicule, 11.6 millions d’euros…
11.6, un film de Philippe Godeau avec François Cluzet, Bouli Lanners, Corinne Masiero...
- Sortie le 3 avril 2013 -
*Places attribuées par tirage au sort le 5 avril aux personnes ayant effectué une commande sur notre site entre le 15 mars et le 5 avril.
Le crime est-il plus séduisant à Los Angeles ? Certainement ! Là-bas, tout le monde, du criminel au procureur, en passant, et surtout, par les journalistes-enquêteurs, joue à sa star, fait son cinéma !
Photographies choc, titres en gros caractères…tout est mis en jeu pour faire d’une sordide petite histoire une affaire sensationnelle.
C’est cette ambiance que Nausica Zaballos a reconstitué au travers de huit cas présentés de façon factuelle, et, on comprend mieux alors pourquoi le crime est plus séduisant dans la cité des Anges qu’ailleurs.
LM
Nausica Zaballos, Crimes et procès sensationnels à Los Angeles (1922-1962),
Traumatisé par un crime dont il a été témoin durant sa jeunesse au Viêt Nam, Hoai, maintenant écrivain à succès à New-York, entreprend un voyage de retour vers les lieux de son enfance.
Parallèlement, une série de meurtres reprend le même mode opératoire.
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Même s’il s’essouffle sur la fin et se perd parfois dans des détails, ce thriller (premier roman?) signé Aurélie AIROUDE mérite l’attention.
Desservi par la mise en page et un manque flagrant de relecture, on se laisse néanmoins captiver par ce roman dont l’intrigue, pleine d’imagination, nous pousse à en prolonger la lecture et on ne peut qu’encourager l’auteur(e) !
Après quinze ans d’interruption, Denoël relance la collection « Sueurs Froides » avec deux titres :
- Des Noeuds d’acier de Sandrine Collette et, - Une semaine en enfer de Matthew F. Jones.
L’ouvrage de Matthew F. Jones décrit le cauchemar d’un brave « redneck», John, dont la vie bascule suite à un malencontreux coup de fusil (d’où le titre original A Single Shot). Miné par le remord, John n’aura de cesse d’accumuler les mauvais choix…
Publié en 1996, bien avant le No Country for Old Men de Cormac McCarthy (2005), Une semaine en enfer en supporte la comparaison, et, même si le registre de langue semble parfois légèrement décalé (‘stramoine’ pour herbe du diable ou datura, ‘caroncule’ pour excroissance charnue…) le style, nerveux, se concentre sur le présent du protagoniste et laisse présager son inéluctable descente en enfer.
Matthew F. Jones, Une semaine en enfer traduit de l'américain par Pascale Haas, Denoël 2013, 251 pages, 17 €.
Une excellente initiative de l’Association des Amis de Michel Gourdon que ce portfolio de 170 pages réalisé à partir de gouaches originales. L’ ouvrage fait, bien évidemment, la part belle aux collections du Fleuve Noir mais on y trouve également des œuvres réalisées pour J’ai lu, Les Presses de la Cité et Tallandier.
En édition limitée à 200 exemplaires, cet ouvrage est aujourd'hui épuisé...
( Deux nouveaux recueils sont en chantier... à suivre )
En signant cet ouvrage sur JEF DE WULF (1926, 1994), Philippe Aurousseau comble enfin une énorme lacune concernant « l’un des piliers de l’illustration populaire d’après-guerre ».
A partir de l’histoire du dessinateur, Philippe Aurousseau crible avec beaucoup de talent vingt années de l’histoire du Roman Populaire.
Abondamment illustré, extrêmement documenté, en bref :
A ne pas manquer !
Sommaire :
- La carrière - Les thèmes - Les palettes - La technique
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Ouvrage en tirage limité à commander directement sur le site d'Oncle Archibald
crits d'Anticipation et d'Angoisse indiquant par cela même ses
choix éditoriaux.
(lien actif sur la couverture)
Oubliés sur la planète Bêta XII, dans la constellation de Burin, les quelques rescapés d’une mission commando se retrouvent confrontés à un milieu hostile.
Le Cap’ Morgad Carlach’, un soldat de fortune (52), presque un vétéran, mettra tout en œuvre pour assurer la survie de ses hommes.
Loin de les considérer comme de la vulgaire chair à RCM (Rupteur de Cohésion Moléculaire), Morgad qui a réussi à prendre contact avec l’Amirauté, mène un double combat : contre les troupes du Burin mais aussi contre la bêtise des civils (…cette effroyable guerre que vous civils avez fait naître…266) voire de certains gradés (Le colonel Vaarst en prend pour son grade…).
Pour mener à bien cette nouvelle mission, il bénéficiera de l’aide d’un autre ancien, Jos Kovicj, mais surtout de Jil de la Materna Alpha 4 de Phaet (75) amoureuse platonique de son Cap’ depuis qu’une rafale de thermique lourd est passée au dessus de nos têtes. Ensuite vous avez gardé ma main un moment dans la votre… ( scène la plus torride du roman – 256).
Dans ce roman, encore une fois (les lecteurs de Cal de Terre n’en disconviendront pas), PJ Hérault fait bien son boulot : Son boulot c'est de faire rêver les gens, (Interview de Damien Dhondt) :
et ça marche !!!
Sur fond d'environnement de pleine nature, avec en premier plan la mer (présente dès ses premiers romans), P.J. Hérault a su métamorphoser un capitaine « moyen » en héros ! (Même si le roman en manque un peu d’Eros…).
P.J.Hérault, Quand il ne reste que l'honneur... édition Rivière Blanche, février 2011, 292 pages, 20 €.
L’existence de Frank Mackey bascula par une nuit de décembre 1983. Il avait dix-neuf ans et attendait Rosie Daly au bout de sa rue, à deux pas du halo brumeux et jaune du réverbère. L’air était froid comme du verre, chargé d’un délicieux parfum de houblon brûlé…
Voici un Polar comme je les aime : bien violent et barbare, et de façon inattendue, si romantique ! Cette famille impossible se partage entre de vrais méchants et de doux rêveurs. Mais aucun n'échappe au destin sordide de certains lieux. Sauf que ...
SM
Tana French, Les lieux infidèles traduit de l'anglais (Irlande) par François Thibaux, Calmann-Levy 2011, 433 pages.