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Cette collection réunit une myriade de titres et d'auteurs prestigieux, le plus souvent anglo-saxons, mais sans exclusive, puisqu'on y retrouve des représentants des pays de l'Est, de l'Italie, et de plus en plus de français.
Après avoir fait une place au Fantastique, jusqu'aux années 60, " PRÉSENCE DU FUTUR " s'est exclusivement consacrée à la SF, sous forme de romans, d'anthologies ou d'essais, pour la plupart inédits.
La présentation, qui semblait définitivement vouée à une comète de couleur variable traversant une couverture blanche, a subi quelques transformations depuis le n° 196 : une illustration circulaire de Stéphane DUMONT agrémente ( le terme est-il bien choisi ? ) une couverture de couleur.
Extraits de l'ouvrage de
Henri DELMAS & Alain JULIAN : Le Rayon SF |
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La collection, numérotée de 1 (Chroniques martiennes de Ray Bradbury) à 666 (Route 666 -et pour cause - de Roger Zelazny) compte en fait 632 ouvrages édités selon huit représentations que nous détaillons dans notre catalogue. |
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Catalogue |
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Commande |
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Published by Papy Dulaut
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dans
SF
20 janvier 2010
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05:15
| Tout aurait pu commencer avec Yseut la blonde, jeune fille noble d'Irlande, et son bien-aimé Tristan de Loonois, qui, lors de ses aventures devra combattre un géant et un dragon... ...Aussi cette femme blonde dont fait mention Lautréamont dans "Les chants de Maldoror"... ... Ou encore Lorelei, la fée du Rhin, dont la longue chevelure blonde tombe à sa droite sur ses blanches épaules, comme un fleuve d'or qui s'épancherait dans les eaux verdâtres du fleuve.[...] |
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J'AI LU | | | KHOM-HEÏDON | | | JC LATTES |
| | | DENOËL | | | |
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QUIZZ ! Retrouvez les ouvrages d'origine!* (réponse en liens attachés sur images). Vous avez obtenu un score supérieur à 3? Pas mal ! *Pour vous aider les noms des maisons d'édition | | | Hachette |
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| | MNEMOS | | | J'AI LU |
...Egalement, dans Les Royaumes du Nord (Pullmanl) la reine du clan des sorcières, Serafina Pekkala, une belle femme blonde aux yeux verts âgée de trois cents ans… Mais surtout, comme l'explique Yves Meynard dans Comment ne pas écrire des histoires éviter les clichés du genre SF des années 40: "c'est la fille du professeur, une blonde pulpeuse et complètement idiote, qui est dans l'histoire pour servir d'objet de désir de la part du jeune astronaute viril mais surtout pour demander qu'on lui explique comment au juste fonctionne le réacteur atomique de la fusée spatiale inventée par son père..." |
MNEMOS |
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Published by Papy Dulaut
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dans
SF
16 janvier 2010
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Published by Papy Dulaut
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dans
SF
31 décembre 2009
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Published by Papy Dulaut
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dans
SF
26 décembre 2009
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| Il va déjà sans dire qu'il y a souris (celle de gauche) et souris (à droite)... Mais bon! Trêves de balivernes!!! Et tout d'abord, QUIZZ ! Retrouvez les ouvrages d'origine!* (réponse en liens attachés sur images). Vous obtenez un score de 8/8? Félicitations! *Pour vous aider les noms des maisons d'édition (associées à des liens vers d'autres articles) | |
Syros | | La Tarente |
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La recherche sur GOOGLE de « femme brune dans le roman policier » se soldant par un résultat on ne peut plus décevant, la question de « l’évolution du stéréotype de La Femme Brune dans le roman policier de ses origines à nos jours » reste ouverte ! Dans l’attente de vos contributions, quelques éléments. |
| Dès 1861, puis en 1864, en Angleterre dans les "yellowbacks", fascicules bon marchés, on raconte les aventures d’une "Lady Detective" LA FEMME ET LE ROMAN NOIR par Etienne Borgers | |
Presses Internationales |
C’est dans ce cadre (bureau, office, agence), que le Privé attend que l’affaire se présente : elle prend alors le plus souvent l’apparence d’une somptueuse, ténébreuse, évanescente, irrésistible créature (un autre archétype : celui de la femme fatale) | | |
LE PRIVE AMERICAIN DE LA GRANDE EPOQUE Reardon, Août 2007 | Presses de la Cité | | Fleuve Noir |
| …si je fais parler de la même manière un homme qui dira : «merde je me casse» et une femme, la phrase dite par la femme renverra automatiquement à un archétype. INTERVIEW de FRED VARGAS Par Christine Ferniot (LIRE, 25/10/2001) | |
Transit |
| | ... dans la mythologie du polar, particulièrement chez les écrivains du sud des états-unis, année 50-60 (Whittington, Gil Brewer, Day Keene et bien d'autres) la femme brune incarnait le péché et la perdition... Claude MESPLEDE 21/10/2008 |
Sogedide | | Gallimard | |
Published by Papy Dulaut
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dans
Polar
21 décembre 2009
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06:56
B = Bon état
TB = Très bon état [ Les titres en blanc renvoient aux catalogues ]
Published by Papy Dulaut
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dans
En vitrine
20 décembre 2009
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Septembre 1945. Marcel Duhamel crée La Série Noire chez Gallimard et le public français découvre La Môme vert-de-gris (titre français de Poison Ivy) et Cet homme est dangereux, deux polars de Peter Cheyney.
Les huit premiers titres ne sont pas numérotés et apparaissent dans un format de 12x18.5 cm, souple et totalement différent de l'édition cartonnée.
En 1958, à partir du numéro 414 de la collection, c’est une édition brochée qui en prend la relève et ce, jusqu’à nos jours.
Les premiers n° brochés de la Série Noire
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En 1948, Marcel Duhamel écrit ce qui restera longtemps « le manifeste de la "Série noire" ».
« Que le lecteur non prévenu se méfie : les volumes de la "Série noire" ne peuvent pas sans danger être mis entre toutes les mains. L'amateur d'énigmes à la Sherlock Holmes n'y trouvera pas souvent son compte. L'optimiste systématique non plus. L'immoralité admise en général dans ce genre d'ouvrages uniquement pour servir de repoussoir à la moralité conventionnelle, y est chez elle tout autant que les beaux sentiments, voire de l'amoralité tout court. L'esprit en est rarement conformiste. On y voit des policiers plus corrompus que les malfaiteurs qu'ils poursuivent. Le détective sympathique ne résout pas toujours le mystère. Parfois il n'y a pas de mystère. Et quelquefois même, pas de détective du tout. Mais alors ?... Alors il reste de l'action, de l'angoisse, de la violence — sous toutes ses formes et particulièrement les plus honnies — du tabassage et du massacre. Comme dans les bons films, les états d'âmes se traduisent par des gestes, et les lecteurs friands de littérature introspective devront se livrer à la gymnastique inverse. Il y a aussi de l'amour — préférablement bestial — de la passion désordonnée, de la haine sans merci, tous les sentiments qui, dans une société policée, ne sont censés avoir cours que tout à fait exceptionnellement, mais qui sont parfois exprimés dans une langue fort peu académique mais où domine toujours, rose ou noir, l'humour. À l'amateur de sensations fortes, je conseille donc vivement la réconfortante lecture de ces ouvrages, dût-il me traîner dans la boue après coup. En choisissant au hasard, il tombera vraisemblablement sur une nuit blanche. »
(from MOURET, Jean-Noël. 50 ans de Série noire Gallimard 1945-1995) |
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[Les "Série Noire" cartonnés] |
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Published by Papy Dulaut
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dans
Polar
9 décembre 2009
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/2009
15:05
Published by Papy Dulaut