19 mai 2008
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Gustave Henri Joseph Lerouge (Valognes, 22 juillet 1867 – Paris, 24 février 1938) dit Gustave Le Rouge est un écrivain et journaliste français auteur entre autres de romans d'aventure populaires dont la plupart incorporent une dose de fantastique, de science-fiction ou de merveilleux. | |
Le Prisonnier de la planète Mars (1908) suivi de La Guerre des vampires (1909) représente un étonnant voyage dans la planète Mars en utilisant l'énergie télépathique de milliers de fakirs rassemblés dans un monastère de l'Inde (Editions Martineau, 1966) |
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SF
14 mai 2008
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Et ça aurait pu ne pas en finir puisque tout en était là.
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Papyriades
12 mai 2008
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CARRIE, roman de STEPHEN KING a été publié chez Gallimard en 1976.
Ce roman fait partie de notre sélection Hors-Collection que vous pouvez retrouver en cliquant sur l'image...
En bonus, la bande-annonce du film de Brian de Palma (en VO bien entendu...) ...
En l'adaptant au cinéma, Brian de Palma signe avec Carrie une pièce maîtresse du fantastique.
L’histoire d’une jeune fille élevée dans l’obscurantisme le plus total par une mère bigote, souffre douleur de ses camarades de classe, mais dotée de pouvoirs de télékinésie qu’elle-même ne soupçonne pas. Ceux-ci vont être l’instrument de sa vengeance.
A partir d’une trame de départ assez simple, Brian de Palma parvient à conférer au film une richesse thématique assez conséquente. Ainsi, le destin d’une lycéenne prend à la fois une dimension de conte de fée, une dimension mythique mais aussi une dimension de satire religieuse. Le conte de fée de Carrie, mouton noir se muant en Cendrillon étincelante, évoluant d’un univers familial plus qu’oppressant à un bal de fin d’année au cours duquel elle fait office de reine. La dimension mythique d’une histoire de lycée prenant des allures de tragédie antique, avec pour figure de proue une furie n’accomplissant sa tâche que dans la destruction et le cataclysme. Une satire religieuse à travers le personnage à la fois grotesque et terrifiant de la mère de Carrie (interprétée par Piper Laurie), fanatique psychotique vivant dans une maison ressemblant à une église gothique.
La construction du film est en tout point irréprochable, le récit étant d’une limpidité et d’une intensité rares. Ainsi, l’histoire de Carrie apparait comme un destin frappé par la fatalité, et ce malgré les apparences. Derrière la scène de douches, filmée avec un ralenti censé apporter un caractère érotique au début du film, se cache une bouffée de violence symbolisée par l’irruption d’un flot de sang et par la lapidation d’un des personnages. Derrière l’atmosphère extatique et paradisiaque du bal se cachent le cataclysme et le carnage. Ainsi, un long plan séquence durant le bal, auquel succède une séquence filmée au ralenti, placent le sanglant final en position d’apothéose fiévreux, rendu délirant et visuellement jubilatoire par l’utilisation du split screen.
Carrie est un film visuellement très brillant, filmé de la manière la plus intense qui soit, thématiquement très développé, porté par une actrice exceptionnelle dont le regard fait office d’effet spécial à lui seul (Sissy Spacek, nommée aux Oscars, tout comme Piper Laurie, phénomène assez rare pour des performances dans un film d’horreur). Un chef d’oeuvre qui n’a aucunement souffert du poids des années. Ainsi, l’image de la prima donna ensanglantée, à la pose expressionniste absolument saisissante, demeure une image terriblement marquante du cinéma fantastique dans son ensemble.
from Nicolas Bardot
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SF
7 mai 2008
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| Parmi tant d’auteurs qui ont exploré « d’Autres Mondes » et que vous pouvez retrouver classés HORS COLLECTIONS (en cliquant sur les images…) | |
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2 mai 2008
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Tout en priant le vieil arbre, la branche, désespérée, s’accroche au tronc.
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Papyriades
2 mai 2008
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Pierre-Henri CAMI (Pau, 1884 - Paris, 1958).
Humoriste français. Passionné d'opérette et de tauromachie, Cami voit débuter sa carrière par le truchement du bulletin des Pompes Funèbres... le si bien nommé Petit corbillard illustré.
Doué pour la caricature mais plus particulièrement encore pour un théâtre d'une loufoquerie rarement atteinte parmi les auteurs comiques français, Cami jouit d'une grande renommée dès 1914. Il créé des personnages burlesques fort appréciés jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, tels que Loufock-Holmès, César Rikiki. Charlie CHAPLIN disait de lui qu'il était « le plus grand humoriste 'in the world' » et Jacques PREVERT qui, à l'instar de Roland TOPOR ou de Jean-Jacques PAUVERT, était au compte de ses admirateurs proposa le terme de « camisard » pour désigner ses admirateurs.
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1 mai 2008
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Le Péril bleu est un roman de science-fiction, publié en 1910 par Maurice Renard (France). | |
| Attention: ce qui suit dévoile des moments clef de l'intrigue Le Péril bleu commence comme un roman policier : on découvre, dans la campagne du Bugey, des débris humains disséminés. Progressivement, la vérité apparaît : les SARVANTS, des extra-terrestres invisibles, explorent avec leur vaisseau spatial ce qui leur apparaît comme un vaste océan couvrant une planète étrangère : l'atmosphère terrestre. Ils y pêchent des créatures qu'ils étudient, dissèquent, classifient, conservent et exposent dans des musées, jusqu'à ce qu'ils découvrent par hasard que ces créatures sont capables de souffrir et de penser. Magnanimes, les SARVANTS décident de mettre un terme à leurs expériences. Ce faisant, ils se montrent finalement plus "humains" que les humains eux-mêmes (notre rapport aux autres espèces animales est évoqué dans le livre). Le roman est remarquable à la fois parce qu'il décrit des extraterrestres plus avancés que l'espèce humaine et aussi en raison du traitement non-anthropomorphique des créatures extraterrestres (les SARVANTS ressemblent à des araignées invisibles), qui rappelle La guerre des vampires de Gustave Le Rouge (1909). |
"Le talent magique de Maurice Renard paraît destiné à avoir une grande influence littéraire." Guillaume Apollinaire |
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21 avril 2008
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Sais-tu qu’il n’y a que moi dans la famille qui ne parle pas du nez ? Hé bé, c’est très dur à faire croire par écrit !
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21 avril 2008
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.....A première vue, on dirait l'un de ces contes pour enfants blonds et dociles, comme il n'en existait sans doute que dans les rêves petit-bourgeois des Français des années post-pétainistes. Quand on ouvre l'album, on trouve un tout autre univers. Est-ce par hasard que je l'ai feuilleté, je ne sais, sans doute la collection "Rouge et bleue" et son blason devait remuer en moi un vieux souvenir. Et là, je suis tombé sur cette image, la scène du départ, avec le bus, la fusée en arrière plan, et j'ai immédiatement pensé à l'AUTRE album, le tome 1, celui intitulé Nous irons à Lunaterra. .../... from philippedifolco.info | Accédez à nos offres Hors Collection en cliquant sur l'image |
Paul Berna est le pseudonyme le plus connu de Jean-Marie-Edmond Sabran (Hyères 1908- Paris1994), écrivain français. Il utilise également les pseudonymes de Bernard Deleuze et Paul Gerrard pour les romans noirs et de Joël Audrenn pourles policiers. Il écrit également des romans de Science-fiction dont les plus connus sont La Porte des étoiles et sa suite Le Continent du ciel. |
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14 avril 2008
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Après maints écrits vains, l’écrit vint à l’écrivain.
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